LE REVERS DE MES RÊVES

Disponible
Nombre de pages : 160
Dimensions : 109 mm x 178 mm
Poids : 102 gr
Prix : 7.90 €
Poche
EAN : 9782253263562
Distributeur : HACHETTE LIVRE
Nombre de pages : 160
Dimensions : 109 mm x 178 mm
Poids : 102 gr
Prix : 7.90 €
Poche
EAN : 9782253263562
Distributeur : HACHETTE LIVRE
Auteur(s) : Grégory Cingal
Editeur(s) : LGF
Collection : Littérature
Date de parution : 4 juin 2025
Genre(s) : LITTÉRATURE GÉNÉRALE
Langue(s) du texte : Français
« Le nombre de mes victoires en Grand Chelem contre le mur du garage, je l’évaluerais à une quinzaine, soit un positionnement intermédiaire entre le record de Pete Sampras et celui de Roger Federer, performance fort honorable pour un joueur de onze ans. »
Enfant, Grégory Cingal tapissait les murs de sa chambre de posters de Borg, Becker ou Connors. Un jour, c’est certain, il gagnera Wimbledon. Mais un souffle trop court aura raison de ses rêves. Il est gaucher, s’énerve sur tous les points, et sa ressemblance avec John McEnroe s’arrête là. La seule vie convenable est dans la lecture des livres, entre les bras des femmes et sur un court de tennis. Quel autre sport a la bonté d’offrir à chaque engagement une deuxième balle ?
Grégory Cingal est fou de tennis et lui déclare son amour dans cette Recherche du temps perdu où les madeleines ont été remplacées par le duvet jaune des balles. Christophe Ono-dit-Biot, Le Point.
Un très allègre et non moins mélancolique récit. Éric Chevillard, Le Monde.
Enfant, Grégory Cingal tapissait les murs de sa chambre de posters de Borg, Becker ou Connors. Un jour, c’est certain, il gagnera Wimbledon. Mais un souffle trop court aura raison de ses rêves. Il est gaucher, s’énerve sur tous les points, et sa ressemblance avec John McEnroe s’arrête là. La seule vie convenable est dans la lecture des livres, entre les bras des femmes et sur un court de tennis. Quel autre sport a la bonté d’offrir à chaque engagement une deuxième balle ?
Grégory Cingal est fou de tennis et lui déclare son amour dans cette Recherche du temps perdu où les madeleines ont été remplacées par le duvet jaune des balles. Christophe Ono-dit-Biot, Le Point.
Un très allègre et non moins mélancolique récit. Éric Chevillard, Le Monde.
